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The Mist
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3,5
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Lalapa
1 critique Suivre son activité
3,0
Publiée le 11 novembre 2024
Film à voir une fois dans sa vie, mais qu'une fois. La seule partie intéressante est le plot twist à la fin. Ce n'est pas le film de l'année clairement. Ce qui est dommage c'est qu'il a un très bon départ il y a du suspens. Puis il se passe 1h30 de vide. Pas vraiment d'enjeu. Mais très très bon plot twist qui m'a fait ressentir ds belles sensations. Vraiment a voir, mais n'est pas excellent. spoiler:
Disons que je ne voyais pas une autre fin que celle du môme qui meurt pour rien, sinon ça aurait été ennuyeux pour rien, je ne mettrais clairement pas cette note si ce n'était pas le cas. Par contre les coupures de montages sont HORRIBLES CEST MOCHE je ne sais pas pourquoi ils ont fait ça.
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Lucie Ferry
17 critiques Suivre son activité
5,0
Publiée le 3 novembre 2024
Ce film tient en haleine tout le long , la fin est horriblement triste . Fan de Stephen King , je l'ai découvert en DVD car jamais lu . Il fait un peu penser vers la fin à '' La guerre des Mondes'' avec Tom Cruise . Très bon film !!!
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jthuil
13 abonnés 317 critiques Suivre son activité
1,5
Publiée le 5 novembre 2024
L'auteur de l'excellent "Les Évadés" adapte à nouveau Stephen King avec "The Mist", récit paresseux et un peu con sur un brouillard maléfique qui menace la vie des habitants d'une bourgade américaine. En fait, le film ressemble à une combinaison sans saveur de The Fog et de Silent Hill, et sa seule bonne idée, à savoir se focaliser sur les rapports de pouvoir qu'entretiennent les survivants, est très mal exploitée car extrêmement prévisible, répétitive et bien trop longue. Le film se traîne ainsi sur plus de deux heures alors que de nombreuses scènes auraient pu être écourtées, voire carrément coupées. Autre point noir, et de taille : les images de synthèse sont totalement ratées et font penser aux pires téléfilms d'anticipation de la TNT, ce qui n'arrange rien. Heureusement, Thomas Jane y est beau gosse comme jamais et ça permet de faire passer la pillule quand on n'a rien de mieux à faire.
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Cinéphiles 44
1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité
4,0
Publiée le 11 octobre 2024
*The Mist* de Frank Darabont est une adaptation très fidèle de la novella de Stephen King, capturant parfaitement l'atmosphère oppressante et la tension psychologique qui règnent dans l'œuvre originale. Le film reste proche des personnages et des thèmes du livre, en explorant la peur de l'inconnu et la fragilité des rapports humains face à une catastrophe. Ce qui le distingue vraiment, c'est sa fin bouleversante, qui diffère de celle du roman et surprend même les fans de King. Ce choix audacieux de Darabont en fait un dénouement à la fois tragique et inoubliable.
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Jeff S.
3 abonnés 120 critiques Suivre son activité
3,5
Publiée le 11 octobre 2024
Un bon film fantastique, avec de bons acteurs, et une intrigue prenante dans un cadre resserré. Et avec une fin qui vous traumatiser à a jamais. Bien joué.
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Attigus R. Rosh
195 abonnés 2 513 critiques Suivre son activité
3,5
Publiée le 4 septembre 2024
The Mist est une adaptation plutôt réussie de livre de Stephen King.
Plutôt simple dans son intrigue (un groupe d'individu se retrouve coincé dans un supermarché par un brouillard complète opaque d'où surgissent des créatures apocalyptiques), le film et la réalisation de Frank Darabont sont redoutables d'efficacité. La folie dans laquelle s'engouffre les survivants est angoissante.
Les acteurs jouent plutôt bien, même si ce n'est pas forcément ce qui ressort du film (à part peut-être la prestation de Marcia Gay Harden, assez flippante). Les effets spéciaux passent encore aujourd'hui et les créatures diaboliques font encore pas mal peur (je ne suis pas certain pour autant qu'ils seront pérenne avec le temps).
Le final (qui, de ce que j'ai compris, se détache de celui du livre) est glaçant (chapeau bas pour ce choix franchement audacieux).
Une adaptation de Stephen King qui aurait mérité d'être un peu plus connue.
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gizmo129
96 abonnés 1 520 critiques Suivre son activité
4,5
Publiée le 22 août 2024
Petit chef d'œuvre à son niveau, The Mist est une excellente adaptation de Stephen King, adapté par Frank Darabont, duo à qui l'on doit la Ligne verte. Ce film a un coté assez terrifiant car on ne sait pas ce qui nous attend derrière cet épais brouillard. Des monstres voraces, on le comprend assez vite, mais il y a t'il un échappatoire ? Quel taille fait ce nuage ? Les secours vont il arriver ? Est ce un cataclysme biblique ? Comment survivre ? Faut il être solidaire ou individualiste ? Toutes ces questions nous hantent durant le film et en cela le film est angoissant. La fin est déchirante de par les choix faits et la conclusion de l'histoire est terrible.
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LouiNéma
42 critiques Suivre son activité
3,0
Publiée le 14 juillet 2024
J'aime beaucoup Frank Darabont, j'ai moins aimé The mist même si je dois avouer que la fin m'a retourné. En fait c'est surtout la réalisation que je trouve ratée. Les zooms, les gros plans, ça fait un peu bâclé, ca fait serie B, téléfilm. Pareil pour le jeu d'acteurs qui n'est pas exceptionnel. Mais le mystère se tient quand même et les effets spéciaux sont plutôt sympas (oui ça fait faux mais ça a un peu de charme je trouve). Par contre j'ai du mal à comprendre le film, la morale. Pourquoi faire autant souffrir les personnages courageux et laisser tranquilles les lâches et cruels? En fait ya des bonnes choses dans The mist mais c'est pas assez bien exploité ou juste trop caricaturale. Par contre la fin m'a eu je dois l'avouer : elle est tellement surprenante pour un film américain, chapeau d'avoir pris ce risque...par contre même problème, ça reste surprenant mais quelle est la morale ? pourquoi infliger ça à nos personnages? ça choque ok mais j'ai le sentiment que ya rien d'autres derrière... Ça aurait pu être mieux !
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moket
529 abonnés 4 334 critiques Suivre son activité
4,0
Publiée le 3 mai 2024
D'un brouillard mystérieux et inquiétant, Frank Darabont (Stephen King) fait surgir d'horribles et gigantesques créatures. Ce huis-clos horrifique est un sommet du genre : effrayant, tantôt gore, sans omettre d'égratigner au passage l'obscurantisme et le fanatisme religieux. Le film transcende les réactions et les relations humaines dans des circonstances extrêmes, montre comment elles peuvent faire ressortir le meilleur comme le pire. Et la fin est audacieuse et terrible.
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Adam67
2 abonnés 485 critiques Suivre son activité
4,5
Publiée le 29 avril 2024
The Mist, film d'horreur sorti en 2007 par le réalisateur Frank Darabont d'après la nouvelle de Stephen King, est un excellent film d'horreur avec un synopsis très simple : une étrange brume opaque couvre un supermarché dans lequel des personnes de la commune sont piégées, suivies par des étrangetés qui mettent en danger le groupe.
C'est un huis clos oppressant dans un supermarché. Le casting de "The Mist" brille par la présence d'acteurs exceptionnels, dont Laurie Holden, connue pour son rôle marquant dans "The Walking Dead", où elle incarne avec brio Andrea, Jeffrey DeMunn, également issu de la même série où il joue le rôle de Dale Horvath, Melissa McBride, célèbre pour son interprétation poignante de Carol Peletier dans "The Walking Dead", et Juan Gabriel Pareja, connu pour son rôle marquant de Morales dans la même série. En plus de ces acteurs de renom, le film met en vedette des talents tels que Thomas Jane, célèbre pour son rôle de Frank Castle dans "The Punisher", Marcia Gay Harden, récipiendaire d'un Oscar, et Andre Braugher, connu pour ses performances dans des séries telles que "Brooklyn Nine-Nine", sans oublier d'autres acteurs de talent. Chacun d'eux apporte sa touche unique à l'ensemble, contribuant ainsi à créer une expérience cinématographique inoubliable.
Dans ce film inspiré du livre "The Mist" de Stephen King, on y retrouve de nombreux thèmes : le fantastique, les religions, des personnages ordinaires mêlés à quelque chose qui les dépasse et une aventure anxiogène venant relire notre idée des ténèbres. The Mist est avant tout l'histoire d'une communauté face à la peur de l'inconnu, à tel point que tout au long de son œuvre, cette brume mystérieuse en deviendra presque plus accueillante que l'étude psychologique que prône King dans son centre commercial, posant une question simple à son lecteur : qui sont les véritables monstres ?
Le cinéma de Darabont, c'est la façon très poétique dont il se délecte de l'horreur et de la mort de ces personnages. Darabont base son récit sur l'angoisse de l'inconnu et ses conséquences sur l'homme, sur les relations torturées émanant de personnages normaux au cœur d'une histoire extraordinaire.
C'est un projet de seulement 18 millions d'euros, donc il a fallu broder, et c'est bien pour cela que les effets spéciaux piquent les yeux. Certaines scènes sont filmées comme The Thing. Ce film conjugue parfaitement la forme et le fond. D'un côté, l'horreur d'un huis clos dans la plus grande tradition des films de genre et reflet de société dont Darabont n'hésite pas à dépeindre les ténèbres.
Sur la forme, The Mist est l'éloge du réalisme. On peut dire que Darabont oriente la caméra dans les mêmes angoisses des personnages : peur de l'inconnu, paranoïa, et même rapport au gigantisme. Il est aussi parfaitement entre justesse d'une ambiance suffocante et suspense parfaitement maîtrisé, c'est notamment l'une des marques de fabrique que l'on retrouve dans The Walking Dead : réalisme et poésie au service d'une apocalypse vue avant tout par le regard de ces héros, car ce qui terrorise, ce n'est pas la vision de ces créatures de cauchemar, du moins pas au premier abord. La terreur que met en place son aventure se dévoile bien plus tôt via des habitants terrifiés.
Par les cris et la paranoïa, tout est fait pour jouer sur cette peur du non-dit ou plutôt du non-vu, mettant notre esprit cartésien à l'épreuve et faisant de ce brouillard menace effrayante bien avant l'arrivée des créatures. Le design des créatures est réussi, ce sont des créatures sorties tout droit des enfers, on reconnaît l'intention de mettre une tête sur l'horreur de l'inconnu.
spoiler: Une très bonne scène d'horreur est celle de la pharmacie. Cette scène est à peine éclairée par le minimalisme de leur lampe, les personnages entrent dans un univers encore plus anxiogène qu'auparavant, sublimé par une caméra très proche des corps et de leur déplacement. L'absence musicale laisse place à la peur du moindre mouvement, du moindre bruit, rendant l'immersion d'autant plus délicate. Ici, le jeu de champ, contrechamp du réalisateur aide à la mise en abyme de notre peur.
spoiler: La peur ne vient pas de ce que l'on voit, mais de ce que l'on ne voit pas. Les effets spéciaux sont bien mieux réussis dans cette scène horrifique. La vue d'un homme dévoré de l'intérieur, le corps devenu cocon d'araignée repoussante, le travail esthétique est absolument jouissif dans le genre. C'est la science d'une mise en scène centrée sur des personnages qui changeront radicalement après ça. Après cette scène, le spectateur est partie intégrante du récit, il sait avec ces personnages ce que ceux du supermarché ne savent pas.
Bon parlons du fond maintenant, Darabont ne fait pas qu'une course contre la mort, mais une véritable critique des mœurs de notre société. À quel point la force du film est de montrer que le plus souvent l'horreur se trouve chez l'être humain, car quoi de mieux qu'un huis clos pour mettre en avant les déviances politiques, religieuses et sociétaires de notre véritable nature quand elle se retrouve confrontée à nos terreurs.
Tout comme dans la nouvelle de l'écrivain, le supermarché devient secte d'individus montrant de façon très philosophique les difficultés d'un peuple à coexister dans un environnement où différences ethniques, culturelles et de croyances viennent remettre en question la peur réelle du propos.
Le film oppose les personnages dans une lecture pessimiste de l'être humain dans l'espoir se voient souvent balayé à tel point que le peu de figures aimantes et poétiques comme spoiler: Amanda
se verront fréquemment balayées au détriment d'une foi religieuse désespérée face à l'inconnue. spoiler: Les représentations bibliques en sont extrêmement fortes de la mort du soldat Jessop amené à la bête telle un martyr devant être sacrifié dans une scène atroce jusqu'à la performance dangereusement grandiose de Madame Carmody.
spoiler: Le constat semble sans appel par ses critiques des dérives religieuses et des technologies et parfois même d'un trop plein de sur confiance et de l'incapacité de voir la réalité en face, Darabont dresse le portrait d'une société préférant se tourner vers un culte sordide plutôt que d'admettre la présence d'éléments qu'elle ne comprend pas.
Attention tout de même, le film ne critique pas le christianisme, mais bien les dérives religieuses.
Effectivement, plusieurs personnages se disent catholiques dans le récit et pourtant ils restent cartésiens. spoiler: Le message est d'autant plus fort que nous sommes nous-mêmes responsables de ce cauchemar en jouant avec une avancée scientifique courant à notre perte. Nous créons nos propres monstres, pas seulement ceux de l'extérieur, mais surtout ceux de l'être humain.
On assiste ensuite à l'un des plus grands finaux du cinéma d'horreur. Grandiose, où quand l'élève surclasse le maître, écrit par Darabont lui-même jugé meilleur que l'original par Stephen King. La puissance émotionnelle se dégageant d'une pareille spoiler: violence est inouïe, préférant tuer son fils que de le voir dévoré par manque d'espoir et de foi.
spoiler: David sort de la voiture attendant l'ultime jugement, le jugement dernier, mais à l'aide d'une réalisation exceptionnelle, la surprise est de taille, un char sort de la brume sous le regard livide du personnage. Des créatures flambent dans sa construction la plus froide, l'armée prend le dessus sur ses erreurs.
spoiler: Sur un plan symbolique, plusieurs questions s'offrent à nous. Quels sont les péchés qu'a pu commettre David pour survivre à une apocalypse ayant fini elle-même par le rejeter ? Comment vivre avec ces actions, imaginé devoir tuer votre propre fils et trois personnages autour de vous pour voir débarquer des secours à peine une minute plus tard ?
spoiler: Une dernière scène froide, sans espoir et brisant les illusions d'un père ayant tout perdu.
Cette dernière séquence s'emploie à développer la maestria non seulement cinématographique, mais aussi scénaristique de son auteur, c'est tout ça et bien plus encore, The Mist.
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L'homme sans nom
155 abonnés 974 critiques Suivre son activité
5,0
Publiée le 21 janvier 2024
Quand bien même on n'aime pas ce film, il est très difficile de sortir indemme de son visionnage, avec cette fin qui atteint la perfection horrifique. Une fin qui sublime l'ensemble du métrage. Parfaite en tout point, elle m'a fichu une claque monumentale et rejoint instantanément mes fins favorites au cinéma. Pour sa troisième adaptation de Stephen King, le faiseur de chef d'œuvre populaire (Les Évadés, La ligne verte), Franck Darabont, se met au film horrifique. Hormis sa conclusion, le scénario suit des chemins déjà bien tracé par des Romero ou des Carpenter. Les personnages sont parfois assez caricaturaux, aspect série B, mais ils sont mis au cœur du récit et gagnent ainsi en profondeur (Darabont étant très bon pour humaniser ces personnages fictifs). The Mist explore la noirceur de l'être humain confronté à la peur de l'inconnue et l'angoisse de la mort qui semble inévitable. La mise en scène immersive et d'un réalisme cru installe progressivement un climat oppressant dans ce magasin où les monstres ne sont pas que les créatures de la brume. Des créatures qui sont aussi détaillées et originales. Darabont propose ici son film le plus abouti selon moi : moins académique, moins limbide et plus personnel que ces 2 précédentes adaptations de S. King. Les amoureux des films d'horreur psychologique dont Darabont s'inspire (The Fog, The Thing, La nuit/Le Crépuscule des morts-vivants,...) adoreront certainement.
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Fbnnsg
3 abonnés 57 critiques Suivre son activité
2,0
Publiée le 7 janvier 2024
Trop long ce qui gâche tout, on est obligé de sauter les épisodes tant l'histoire se répète.
Trop long ce qui gâche tout, on est obligé de sauter les épisodes tant l'histoire se répète.
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Halloqueen ;)
5 abonnés 120 critiques Suivre son activité
3,5
Publiée le 7 janvier 2024
Prenez 3 jours de brouillard dans le Maine, mettez-y un Stephen King qui s'ennuie et vous obtenez The Mist.
Un début d'histoire intéressant, quelques longueurs, des personnages que l'on connaît bien lorsqu'on lit King depuis longtemps et qui sont toujours agréables à suivre et à détester pour certains, une belle photographie pour les plans extérieurs, plutôt basiques pour les intérieurs.
La musique de Marc Isham est envoûtante et parfaite pour ce film.
Je ne suis pas une adepte spoiler: des films à créatures
, je n'ai donc pas apprécié ce film à sa juste valeur. La fin est choquante et balaye presque tout le film d'un coup. J'ai pourtant bien compris le sens visible et le caché mais une fin comme celle-ci est limite.
Bon visionnage !
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Frere Mouk
1 abonné 26 critiques Suivre son activité
0,5
Publiée le 11 décembre 2023
Gros navet qui n'est avant tout pas du tout un film d'horreur ni de tension psychologique. C'est très très très mal joué, très mal tourné (caméra épaule avec zoom tremblants, chaloupés, décentrés et effets immersifs invraisemblables). Le scénario est mauvais et seules les créatures sont bien faites et à peu près crédibles. Le twist final est une catastrophe abjecte et invraisemblable qui a elle seule justifie de ne pas regarder ce truc immonde.
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Michaël
6 abonnés 349 critiques Suivre son activité
3,0
Publiée le 20 novembre 2023
Pas un grand film mais il a réussi à me tenir en haleine tout du long. Evidemment la fin restera mémorable et doit certainement beaucoup participer à forger la légende de ce film. Pas un grand jeu de la part des acteurs, ça m'a même à plusieurs reprises fait penser à un téléfilm. Et les effets spéciaux... On faisait encore si mauvais à cette époque ? Bref, à voir, peut-être moins à revoir.
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